Bienheureux les transhumanistes !

Le temps presse, soyons bref : "trans" signifie "au-delà".

Qu'y a-t-il "au-delà" de l'homme, de l'humain ? Dieu.

Nous voyons là encore qu'il y a eu un monstrueux abus de langage. Ce que l'on appelle ordinairement et gravement à tort "transhumanisme" n'est autre chose, en vérité, que l'infra-humanisme. En effet, couper l'humain de sa conscience et le pourvoir de mille possibilités, fussent-elles extraordinaires, c'est le transformer en déchet !

Si l'on donne droit de cité au mot "transhumanisme", il ne peut QUE signifier l'aspiration qui consiste à faire transcender l'humain, à en faire Homme ou, autrement, à le "diviniser". En d'autres termes, le transhumanisme ne peut que désigner le travail spirituel.

Ce qui est ainsi appelé communément est un véritable travail de destruction de l'humain et cela relève proprement du satanisme. Nous ferions honte aux mots si l'on osait appeler un tel crime Transhumanisme, qui désigne précisément le contraire.

Ce crime, ce travail de destruction n'est pas une nouveauté, il s'opère depuis plusieurs siècles si bien que... de nos jours, nous avons des masses inconscientes, qui parlent certes, se meuvent assurément, accomplissent sans nul doute des tâches ordinaires et réalisent parfois des choses notables, mais ils sont fondamentalement cons et l'une des choses que la prétendue crise sanitaire révéla aux yeux de tous, c'est bien cela. Nous avons vu des docteurs, des universitaires, des spécialistes de toute sorte, des religieux et des particuliers faire preuve d'une connerie hallucinante, d'une cécité effrayante et d'une malignité meurtrière. Pourquoi ? Parce qu'il y a eu tout un travail d'abrutissement qui a fini par transformer l'humain en infra-humain, capables de beaucoup de choses, mais incapables de Lucidité. C'est l'œuvre directe de l'infra-humanisme, qui est donc l'exact contraire du transhumanisme.